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Actualité des entreprises

Malgré un euro fort, SIEPEL, vient de remporter plusieurs contrats internationaux dont une bonne part dans la zone dollar

Publication: Décembre 2007

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Dans un contexte d’euro fort pénalisant, Siepel, spécialiste d’absorbants électromagnétiques et de cages de Faraday, tire son épingle du jeu dans la zone dollar grâce à une offre complète et à un service sur mesure. L’entreprise innovante d’une cinquantaine de personnes, qui ?uvre pour les plus grands noms de l’industrie française et internationale (EADS, France Telecom ou EMITECH, LG en Corée du Sud, Toyota en Belgique, SAAB en Suède, Thalès aux Pays Bas...), vient également de signer, d’importants contrats export dans différents pays européens où il envisage d’ouvrir des antennes commerciales.
 

Seul fabricant français de chambres anéchoïques et de cages de Faraday, SIEPEL est l’un des six acteurs mondiaux en Compatibilité Electromagnétique (CEM) et mesure d’antennes. Réalisant près de 50% de son chiffre d’affaires à l’export, il vient remporter des contrats internationaux significatifs pour un montant total d’un million d’euros.

Parmi eux, une commande importante pour la Corée du Sud, pays qui représentera cette année15% du CA à l’export de l’entreprise.

Malgré un euro fort rendant le marché de l’export de plus en plus tendu, Siepel a également réussi à développer un portefeuille important en Asie, entre autres en Chine et à Singapour. Ces deux zones géographiques représentent à elles seules 40% de l’export.

« Si le Dollar bas favorise la concurrence américaine, nous avons cependant réussi à remporter des commandes significatives dans la zone dollar, souligne Christophe Cordès président de SIEPEL. Notre force est de proposer des offres complètes en CRBM (Chambre Réverbérante à Brassage de Mode) intégrant la conception du système, la fabrication sur mesure du matériel, les logiciels spécifiques, la mise en service et la formation du personnel ».

Une stratégie qui porte également ses fruits en Europe. « Sur un marché très concurrentiel comme la Pologne, poursuit Christophe Cordès, notre savoir-faire fait la différence ». Grâce à ces offres complètes, SIEPEL vient aussi cet automne de signer un contrat pour l’université de Nottingham. « C’est la première fois que nous remportons un contrat en Grande Bretagne, dont le marché est habituellement occupé par des entreprises locales » précise Christophe Cordès. Dans un pays comme l’Allemagne, où le marché est plutôt protectionniste dans ce secteur d’activités, SIEPEL va également réaliser sa deuxième installation en Bavière en un an. Il s’agit d’une chambre anéchoïque de mesures de qualification CEM pour une filiale du bureau de Véritas. Ces deux marchés européens représentant un fort potentiel de développement pour l’entreprise française, SIEPEL envisage d’ouvrir à court terme des antennes commerciales en Allemagne et en Angleterre. Fort de ses positions stratégiques et techniques, SIEPEL organise le 24 janvier 2008 à Paris, une journée nationale thématique de 17 conférences techniques données par des experts français et européens du secteur de la CEM.

Seul fabricant français de chambres anéchoïques et de cages de Faraday, SIEPEL est l’un des six acteurs mondiaux en Compatibilité Electromagnétique (CEM) et mesure d’antennes. Réalisant près de 50% de son chiffre d’affaires à l’export, il vient remporter des contrats internationaux significatifs pour un montant total d’un million d’euros.

Parmi eux, une commande importante pour la Corée du Sud, pays qui représentera cette année15% du CA à l’export de l’entreprise.

Malgré un euro fort rendant le marché de l’export de plus en plus tendu, Siepel a également réussi à développer un portefeuille important en Asie, entre autres en Chine et à Singapour. Ces deux zones géographiques représentent à elles seules 40% de l’export.

« Si le Dollar bas favorise la concurrence américaine, nous avons cependant réussi à remporter des commandes significatives dans la zone dollar, souligne Christophe Cordès président de SIEPEL. Notre force est de proposer des offres complètes en CRBM (Chambre Réverbérante à Brassage de Mode) intégrant la conception du système, la fabrication sur mesure du matériel, les logiciels spécifiques, la mise en service et la formation du personnel ».

Une stratégie qui porte également ses fruits en Europe. « Sur un marché très concurrentiel comme la Pologne, poursuit Christophe Cordès, notre savoir-faire fait la différence ». Grâce à ces offres complètes, SIEPEL vient aussi cet automne de signer un contrat pour l’université de Nottingham. « C’est la première fois que nous remportons un contrat en Grande Bretagne, dont le marché est habituellement occupé par des entreprises locales » précise Christophe Cordès. Dans un pays comme l’Allemagne, où le marché est plutôt protectionniste dans ce secteur d’activités, SIEPEL va également réaliser sa deuxième installation en Bavière en un an. Il s’agit d’une chambre anéchoïque de mesures de qualification CEM pour une filiale du bureau de Véritas. Ces deux marchés européens représentant un fort potentiel de développement pour l’entreprise française, SIEPEL envisage d’ouvrir à court terme des antennes commerciales en Allemagne et en Angleterre. Fort de ses positions stratégiques et techniques, SIEPEL organise le 24 janvier 2008 à Paris, une journée nationale thématique de 17 conférences techniques données par des experts français et européens du secteur de la CEM.

Seul fabricant français de chambres anéchoïques et de cages de Faraday, SIEPEL est l’un des six acteurs mondiaux en Compatibilité Electromagnétique (CEM) et mesure d’antennes. Réalisant près de 50% de son chiffre d’affaires à l’export, il vient remporter des contrats internationaux significatifs pour un montant total d’un million d’euros.

Parmi eux, une commande importante pour la Corée du Sud, pays qui représentera cette année15% du CA à l’export de l’entreprise.

Malgré un euro fort rendant le marché de l’export de plus en plus tendu, Siepel a également réussi à développer un portefeuille important en Asie, entre autres en Chine et à Singapour. Ces deux zones géographiques représentent à elles seules 40% de l’export.

« Si le Dollar bas favorise la concurrence américaine, nous avons cependant réussi à remporter des commandes significatives dans la zone dollar, souligne Christophe Cordès président de SIEPEL. Notre force est de proposer des offres complètes en CRBM (Chambre Réverbérante à Brassage de Mode) intégrant la conception du système, la fabrication sur mesure du matériel, les logiciels spécifiques, la mise en service et la formation du personnel ».

Une stratégie qui porte également ses fruits en Europe. « Sur un marché très concurrentiel comme la Pologne, poursuit Christophe Cordès, notre savoir-faire fait la différence ». Grâce à ces offres complètes, SIEPEL vient aussi cet automne de signer un contrat pour l’université de Nottingham. « C’est la première fois que nous remportons un contrat en Grande Bretagne, dont le marché est habituellement occupé par des entreprises locales » précise Christophe Cordès. Dans un pays comme l’Allemagne, où le marché est plutôt protectionniste dans ce secteur d’activités, SIEPEL va également réaliser sa deuxième installation en Bavière en un an. Il s’agit d’une chambre anéchoïque de mesures de qualification CEM pour une filiale du bureau de Véritas. Ces deux marchés européens représentant un fort potentiel de développement pour l’entreprise française, SIEPEL envisage d’ouvrir à court terme des antennes commerciales en Allemagne et en Angleterre. Fort de ses positions stratégiques et techniques, SIEPEL organise le 24 janvier 2008 à Paris, une journée nationale thématique de 17 conférences techniques données par des experts français et européens du secteur de la CEM.

http://www.siepel.com

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