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Actualité des entreprises

D’après une enquête Acronis, la virtualisation et le cloud constituent des défis de taille pour les entreprises du monde entier

Publication: Février 2011

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En termes de continuité d’activité, les entreprises françaises manquent de confiance ou ne sont que trop légèrement équipées...
 

Pour être en sécurité, de nets progrès restent à faire !

Acronis, fournisseur leader de solutions de sauvegarde et de restauration pour environnements physiques, virtuels et de cloud computing, lance le premier classement mondial relatif à la reprise d’activité après sinistre (Acronis Global Disaster Recovery Index), un baromètre qui mesure le niveau de confiance des responsables informatiques en matière de sauvegarde et de reprise d’activité après sinistre.

Cette enquête, réalisée auprès de 3 000 PME et menée par Ponemon Group, a permis de montrer que même si les attitudes en matière de sauvegarde et de restauration diffèrent considérablement à l’échelle mondiale, les entreprises, quel que soit le pays, souhaitent utiliser une solution de sauvegarde et de restauration unique pour leurs environnements physiques, virtuels et de cloud computing. La grande majorité (68%) des responsables informatiques s’accordent à dire que dans un environnement hybride, faire migrer des données entre trois environnements différents constitue leur plus grand défi. Aujourd’hui, une entreprise utilise en moyenne au minimum deux ou trois solutions de sauvegarde distinctes, ce qui complique encore davantage la reprise d’activité après sinistre.

Le classement Acronis Global Disaster Recovery Index

Pour créer ce classement, chaque pays a été noté en fonction d’une moyenne obtenue aux 11 questions posées relatives au niveau de confiance des entreprises en matière de sauvegarde et de reprise d’activité après sinistre, en termes d’aptitudes, de possibilités et de pratiques. Les questions concernaient les technologies, les ressources, les procédures et le soutien de la direction. Voici les principaux résultats de cette enquête :

La France, en bas du classement mondial, est peu confiante en ses capacités à maintenir son activité ou restaurer rapidement ses systèmes en cas d’incident

Avec les entreprises italiennes, les entreprises françaises sont les seules à avoir obtenu des résultats négatifs au classement général, loin derrière leurs homologues allemandes, néerlandaises et suisses.

Toutes les entreprises à travers le monde, y compris en France, reconnaissent que la protection des données est une priorité. Toutefois, si l’on considère la sauvegarde et la restauration de données à proprement parlé, la priorité que leur accordent les entreprises françaises semble encore trop faible. Ainsi, 39% d’entre elles reconnaissent ne disposer que d’un trop petit budget pour s’équiper dignement de solutions de sauvegarde et de reprise d’activité. La part du budget informatique que les entreprises françaises y consacrent est également parmi les plus faibles du classement (5%), confortées par un faible soutien de leurs conseils d’administration (40%)

De ce fait, à cause d’un budget restreint et souffrant d’un manque de soutien de leurs conseils d’administration, les entreprises françaises sont en retard en termes d’équipements et, pour celles qui sont équipées, manquent de confiance au regard de l’intégrité et de la fiabilité des systèmes de sauvegarde et de reprise d’activité après sinistre mis en place. Les entreprises françaises souffrent également d’un personnel moins qualifié (29%) et sont parmi les plus susceptibles d’être victimes d’une interruption d’activité d’envergure en cas d’incident grave (68%). Elles ont également les niveaux de ressources (26%), de technologies (32%), de contrôles et procédures (36%) parmi les plus bas et les stratégies parmi les moins bien documentées (33%).

Après le Royaume-Uni (60%), les entreprises françaises (56%) sont celles qui reconnaissent ne pas sauvegarder leurs serveurs virtuels aussi régulièrement que leurs serveurs physiques.

Une embellie devrait venir de l’adoption du cloud computing. Les entreprises françaises prévoient une augmentation de 23% quant à l’utilisation du cloud au cours des 12 prochains mois. La majorité d’entre elles (68%) comptent notamment intégrer le cloud dans leur stratégie de sauvegarde et de reprise d’activité après sinistre, dans les années à venir. Au niveau mondial, plus de la moitié (56%) des entreprises utilisent des solutions différentes pour sauvegarder leurs environnements physiques et virtuels

David Junca, Acronis Directeur Général d’Acronis en Europe du Sud a déclaré : « Voir que les attitudes des responsables informatiques de par le monde en matière de sauvegarde et de reprise d’activité après sinistre varient autant n’est pas surprenant. En revanche, il apparaît clairement que les PME françaises sont à la recherche d’une solution unique et économique qui soit en même temps fiable et facile à utiliser pour leurs plates-formes physiques, virtuelles et de cloud computing. »

L’enquête a été menée par Ponemon Institute, dans 13 pays, en octobre 2010. Plus de 3 000 spécialistes informatiques de PME (avec moins de 1 000 salariés) ont été interrogés. Pour savoir comment le classement a été réalisé et découvrir la place de chaque pays dans ce classement, accédez à la page : Analyse et résultats du DR Index

http://www.acronis.fr

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