En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des contenus et services adaptés à vos centres d'intérêts. En savoir plus et gérer ces paramètres. OK X
 
 

 

 

Actualité des entreprises

Automobile & Aéronautique : 2 nouvelles options

Publication: Mai 2016

Partagez sur
 
Pour la majeure Mécanique Numérique et Modélisation de l’ESILV et nomination de Radoin BELAOUAR à sa tête...
 

Le métier d’Ingénieur Mécanicien Numérique est en plein essor. Grâce aux outils de modélisation et de simulation numérique, son rôle est devenu majeur pour l’innovation, permettant à la fois de raccourcir les délais de conception et de production de biens et de services, et d’en améliorer la qualité et la fiabilité. La Majeure Mécanique Numérique et Modélisation de l’ESILV délivre les compétences techniques nécessaires ainsi que les dimensions économiques et humaines indispensables à la bonne gestion des projets industriels. Radoin Belaouar donne un nouvel essor à ce département en développant l’axe Transport.

La Majeure Mécanique Numérique et Modélisation de l’ESILV (École Supérieure Ingénieurs Léonard de Vinci), forme des futurs ingénieurs aptes à concevoir, développer, et dimensionner de nouveaux produits et systèmes complexes.

Elle est fondée sur la modélisation et la simulation numérique permettant la compréhension de la chaîne complète pour la conception numérique : interaction avec l’environnement, modélisation et outils numériques, optimisation dynamique, approches multi-physiques et multi-échelles.

Cette filière contribue à produire les ingénieurs de demain dans l’énergie, le bâtiment, le conseil, l’industrie, et plus particulièrement dans l’aéronautique, l’automobile, et les transports (18% de débouchés).

Le transport, axe fort du département Mécanique Numérique et Modélisation de l’ESILV Existant depuis la création de l’école il y a 20 ans, le département Mécanique Numérique et Modélisation offre une large ouverture dans le monde industriel tant du point de vue de la formation que de la Recherche.

Les étudiants qui suivent cette filière en 4ème année peuvent ensuite, en 5ème année, choisir de se spécialiser dans l’une des 3 nouvelles options :

Aéronautique : cette option prépare aux métiers de l’aéronautique et forme des ingénieurs à la simulation et à la compréhension de phénomènes physiques et mécaniques complexes (optimisation des structures, aérodynamiques, matériaux aérospatiaux, moyens de propulsion, avionique, logiciels embarqués, sûreté de fonctionnement.) Automobile et transports terrestres : l’objectif est de répondre par l’innovation au défi de la transformation des transports en formant des ingénieurs sur les systèmes mécaniques et numériques de demain (performance et dynamique des véhicules, architectures des véhicules, systèmes de propulsion électriques, hybrides et conventionnels, vétronique…).

Process Engineering : cette option forme des ingénieurs capables de mettre en œuvre un système industriel dans une politique d’amélioration continue efficace (gestion industrielle, optimisation des processus et amélioration continue, implantation des systèmes industriels, PLM, Lean management). A l’issue de leurs deux dernières années du cycle ingénieur, les élèves ont acquis les compétences permettant de :

- modéliser et simuler les comportements structuraux,

- modéliser des systèmes complexes multi-physiques et multidisciplinaires,

- étudier et concevoir des produits et des procédés et développer des applications scientifiques,

- implémenter et gérer des systèmes industriels.

Ils et elles (car nombreuses sont les jeunes filles qui choisissent cette filière) peuvent choisir les métiers de chef de projet (conception, production ou recherche dans l’industrie), ingénieur études (calcul, modélisation, conception, développement…) dans des secteurs aussi variés que le transport (aéronautique, automobile, ferroviaire, naval), le bâtiment, les bureaux d’études, les sociétés de services, l’énergie (électrique, nucléaire, pétrole…).

Afin d’optimiser le développement de cette formation, l’ESILV a confié la responsabilité de cette Majeure à Radoin Belaouar, docteur-Ingénieur en mathématiques appliquées.

Titulaire d’un diplôme d’Ingénieur en Modélisation Mathématiques et Mécanique (MATMECA, Talence), d’un DEA en Mathématiques Appliquées de l’Université Bordeaux, et d’une Thèse de Doctorat en Mathématiques appliquées de l’Université de Bordeaux effectuée au CEA-CESTA et qui concerne la modélisation et la simulation numérique de l’amortissement Landau en physique des plasmas, Radoin Belaouar a toujours enseigné, parallèlement à ses activités de recherche.

Il a démarré sa carrière en 2008 à l’école Polytechnique en tant qu’Ingénieur chargé de recherche et chargé de cours de finance numérique aux 3ème années du cycle ingénieur. Parallèlement, de 2009 à 2014, il collabore à l’EPITA et l’ECE (Ecole Centrale d’électronique) où il enseigne principalement l’analyse numérique. En 2014, il intègre l’ESILV en tant qu’enseignant-chercheur en mathématiques appliquées.

Promu à la tête du département Mécanique Numérique et Modélisation de l’ESILV, il nous trace les grandes lignes de sa mission :

« J’ai à cœur de transmettre aux futurs ingénieurs de la Majeure Mécanique Numérique et Modélisation, les compétences générales permettant la compréhension de la chaîne complète pour la conception numérique en aéronautique et automobile. Posséder une bonne compréhension des phénomènes physiques et mécaniques mis en jeu et maîtriser les outils logiciels de simulation numérique leur sera indiscutablement bénéfique. ».

Informations détaillées, CV et photos sur simple demande

Suivez Electronique Mag sur le Web

 

Newsletter

Inscrivez-vous a la newsletter d'Electronique Mag pour recevoir, régulièrement, des nouvelles du site par courrier électronique.

Email: